Le 13 avril 2022, le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a tenu une conférence de presse à l’occasion de la publication du premier rapport du Groupe mondial d’intervention en cas de crise sur les conséquences mondiales de la guerre en Ukraine, notamment sur les systèmes alimentaires, énergétiques et financiers.
Selon la plus haute représentante des Nations Unies en Indonésie, la pays est devenu l'épicentre de l'épidémie de COVID-19 en Asie, notamment en raison de la lenteur du processus de vaccination et d’un "manque de solidarité mondiale" qui se manifeste entre autres par l'accumulation de vaccins par les nations riches. ONU info a interrogé la Coordonnatrice résidente Valérie Julliand sur la situation épidémique dans le pays et sur ce que le reste du monde pourrait apprendre de l'expérience indonésienne.
Le Yémen est en guerre depuis plus de 6 ans et, pourtant, des migrants en provenance d'autres pays continuent d’y affluer. La plupart d'entre eux espèrent poursuivre leur chemin vers le nord pour se rendre en Arabie Saoudite, où de nombreuses opportunités de travail sont offertes aux travailleurs journaliers. Mais beaucoup d'entre eux sont kidnappés par des passeurs et retenus pendant des jours, voire des mois, jusqu'à ce que leur famille paie une rançon...
"Grâce à des mesures de santé publique sans précédent et au développement et au déploiement extraordinairement rapides de vaccins, de nombreuses régions du monde arrivent à maîtriser la pandémie. Mais ce serait une grave erreur de penser que la pandémie est terminée", a déclaré aujourd’hui le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, à propos de la pandémie de COVID-19.
Ce blog reprend les termes d'une allocution récente prononcée par le Secrétaire général des Nations Unies à la conférence de presse tenue à l’occasion de la publication du premier rapport du Groupe mondial d’intervention en cas de crise sur les conséquences mondiales de la guerre en Ukraine, notamment sur les systèmes alimentaires, énergétiques et financiers.
Alors que leur exil se prolonge et que les pays d’accueil sont confrontés à de multiples difficultés, les réfugiés syriens installés dans la région sombrent de plus en plus dans la pauvreté.
Dans un entretien accordé à ONU Info, La Vice-Secrétaire générale de l’ONU, Amina Mohammed, a déclaré que la crise mondiale déclenchée par le nouveau coronavirus pourrait et devrait inciter à redoubler d’efforts pour atteindre les ODD, ces 17 cibles convenues au niveau mondial pour éradiquer la pauvreté, créer un monde plus équitable et plus pacifique et protéger la planète.
Lorsque la catastrophe a frappé le cœur de Beyrouth, le Liban était déjà en proie à des troubles civils, à des difficultés économiques et financières et à une hausse de la pauvreté et du chômage, des problèmes aggravés par des tensions politiques et un nombre de cas de COVID-19 en augmentation et exacerbés par le défi que représente pour le pays la prise en charge des réfugiés syriens et palestiniens.
Notre époque porte la responsabilité morale de la pauvreté. Pour la première fois en vingt ans, l’extrême pauvreté est en progression. L’année dernière, près de 120 millions de personnes ont basculé dans la pauvreté lorsque la pandémie de COVID-19 a ravagé les économies et les sociétés.