Après d’importants reculs en matière de réalisation des objectifs de développement durable (ODD), les pays de la région Pacifique ont besoin d'un accès plus équitable aux financements à un moment où ils se battent pour surmonter les difficultés que leur pose le changement climatique.
Alors que se tient, lundi et mardi, à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), une réunion préparatoire à la prochaine Conférence des Nations Unies sur le climat, la COP27, le chef de l’ONU a exhorté les nations développées à redoubler d’efforts pour combattre le changement climatique et aider les nations les plus vulnérables.
Alors que les leaders du monde entier s'efforcent de guider nos gouvernements dans l'adaptation, l'extension et le renforcement des dispositifs de transfert monétaire en espèces, des programmes d'aide alimentaire, des programmes de protection sociale et des dispositifs d’allocations familiales, entre autres [1], nous demeurons douloureusement conscients que 4 milliards de personnes - c’est-à-dire 55% de la population mondiale - dont 2 enfants sur 3, ne bénéficient d’aucune forme d’aide.
Le 13 avril 2022, le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a tenu une conférence de presse à l’occasion de la publication du premier rapport du Groupe mondial d’intervention en cas de crise sur les conséquences mondiales de la guerre en Ukraine, notamment sur les systèmes alimentaires, énergétiques et financiers.
Ce blog reprend les termes d'une allocution récente prononcée par le Secrétaire général des Nations Unies à la conférence de presse tenue à l’occasion de la publication du premier rapport du Groupe mondial d’intervention en cas de crise sur les conséquences mondiales de la guerre en Ukraine, notamment sur les systèmes alimentaires, énergétiques et financiers.
Il est difficile d'imaginer qu'en 2020, on parle encore de femmes pionnières dans des secteurs d’activité séculaires comme la banque ou la finance, ou bien de "premières" femmes à rejoindre des conseils d'administration ou à diriger des entreprises, alors qu’on devrait considérer comme normal le fait que le monde profite de la féminisation des postes de direction.
Au-delà de ses effets dévastateurs sur la population, les infrastructures et l'économie ukrainiennes, la guerre en Ukraine pourrait également avoir des répercussions considérables sur le développement durable au niveau mondial.
Le monde est en danger. Il suffit de consulter le dernier rapport en date du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), que le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a qualifié d’"alerte rouge pour l'humanité"...
Le 4 août 2021, le personnel des Nations Unies et le corps diplomatique en poste au Liban observent une minute de silence en l'honneur des personnes qui ont péri dans les explosions survenues au port de Beyrouth le 4 août 2020.