Aux Samoa et dans la région du Pacifique plus généralement, la pauvreté, les déficits nutritionnels, la violence domestique et les grossesses chez les adolescentes comptent parmi les principaux facteurs à l'origine des faibles performances des élèves et de l'abandon scolaire précoce.
« Si nous voulons transformer l’avenir, si nous voulons changer de cap, nous devons repenser l’éducation. Il s’agit de forger un nouveau contrat social pour l’éducation » - Audrey Azoulay, Directrice générale de l'UNESCO.
Alors que le Sommet sur la transformation de l'éducation débute à l'Assemblée générale des Nations Unies, à New York, la Coordonnatrice résidente de l'ONU en Bosnie-Herzégovine se penche sur les progrès importants que l'ONU et ses partenaires ont réalisés dans la promotion d'une éducation plus équitable et plus inclusive dans le pays.
Cette année, la Journée internationale de l'éducation est l’occasion d’explorer les moyens que nous pourrions mettre en œuvre pour travailler ensemble à enclencher les transformations majeures nécessaires à la réalisation du droit fondamental de chacun à l'éducation et à la construction d’un monde plus durable, plus inclusif et plus pacifique pour toutes et tous.
Vous découvrirez dans ce qui suit le point de vue du Conseiller spécial pour le Sommet sur la transformation de l'éducation, le Costaricien Leonardo Garnier, sur les causes qui expliquent que l’éducation se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins, plus particulièrement encore dans la région de l'Amérique latine et des Caraïbes.
À ce jour, dix pays africains - le Bénin, le Cameroun, l'Eswatini, le Gabon, la Gambie, le Lesotho, le Malawi, la Sierra Leone, l'Afrique du Sud et l'Ouganda - se sont engagés dans l'initiative "Éducation Plus".
Au Malawi, où les enfants atteints d'albinisme sont victimes d’agressions, voire de meurtres rituels, le simple fait de se rendre à l'école peut les exposer à des dangers mortels. L’action menée par l’ONU contribue à rendre les écoles plus sûres pour ces élèves vulnérables.
Le Coordonnateur résident des Nations Unies au Sénégal, Siaka Coulibaly, est revenu, au cours d’un entretien, sur une mission de terrain effectuée avec l’équipe de pays dans les régions de Saint Louis et Matam, au nord du Sénégal, du 15 au 19 novembre 2021.