Il reste au monde moins d'une décennie pour atteindre l'objectif de développement durable (ODD) 5 relatif à l'égalité des sexes et à l'autonomisation des femmes, mais le travail doit encore se traduire par des actions concrètes sur le terrain. La Huitième Session du Forum régional africain pour le développement durable, qui s'est tenue à Kigali du 3 au 5 mars 2022, a offert au continent africain une occasion unique de mobiliser toutes les parties prenantes en vue de l’accélération des mesures visant à concrétiser l'ODD 5 d'ici à 2030.
Dans cette édition des "Reportages de terrain" des Nations Unies, nous mettons en avant des initiatives portées par des jeunes originaires du Moyen-Orient et du Brésil qui se mobilisent pour créer de véritables changements et contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD).
La plateforme virtuelle Mujeres Emplea permet aux femmes d’accéder à des offres d’emploi et de se renseigner sur les opportunités de création d'entreprise dans les secteurs public et privé. Elle leur donne également accès à des outils de formation gratuits et leur propose une liste actualisée d’offres de services de garde d'enfants et de soins pour adultes.
Les inégalités entre les sexes nuisent aux femmes et aux filles et empêchent des sociétés entières de se développer. Lorsque les femmes sont libres, égales aux hommes et autonomes, elles sont plus heureuses sur le plan personnel et en meilleure santé et elles contribuent de manière plus significative à la vie de leur famille, de leur communauté et de leur pays.
L'équipe de l’ONU en Serbie se consacre depuis longtemps à la lutte contre les inégalités entre les sexes. Elle œuvre à ce qu'aucune femme ou fille en Serbie ne soit laissée pour compte. Elle travaille pour cela sur plusieurs fronts : élimination des mariages d'enfants, élimination de la violence domestique, promotion de la santé des femmes pendant la pandémie de COVID-19, etc.
En cette année 2021, la Journée internationale de la femme intervient à un moment où le peuple syrien traverse une période de difficultés extraordinaires. Cette semaine marquera le dixième anniversaire d'une crise qui a causé des pertes incommensurables et entraîné des besoins humanitaires multiples et croissants dans tout le pays.
Il est difficile d'imaginer qu'en 2020, on parle encore de femmes pionnières dans des secteurs d’activité séculaires comme la banque ou la finance, ou bien de "premières" femmes à rejoindre des conseils d'administration ou à diriger des entreprises, alors qu’on devrait considérer comme normal le fait que le monde profite de la féminisation des postes de direction.
La Vice-Secrétaire générale des Nations Unies a appelé lundi les pays d'Asie et du Pacifique à accélérer leur sortie des combustibles fossiles et leur transition vers de nouveaux modèles de développement à faible émission de carbone en adoptant une approche juste et inclusive.
Vous avez déjà vu ça, probablement plus d’une fois même : des panels d’experts composés uniquement d’hommes. Sans doute ces intervenants ont-ils été invités à parler d'économie, de politique, de mobilisation communautaire ou de santé. Ils sont peut-être des experts dans leur domaine, mais il manque tout de même un élément dans ces panels : des femmes.